1. Ulan Bator, joyeux patchwork urbain & culturel / Ulan Bator, fröhliches urbanes und kulturelles Patchwork

(du 7 au 10 septembre / 7. bis 10. September)

Nos premières steppes mongoles, dans le Gobi Est ... / Mit dem Zug durchqueren wir die Gobiwüste bzw. einen Teil davon...

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Après la traversée des steppes et désert du Gobi en train, notre première impression en descendant à la gare d’Ulan Bator est une sensation de grande fraicheur vu que l’on vient de passer d’un 35 dégrées, humide, à Beijing, la veille, à un joli 8 dégrées, venteux qui plus est, dans la capitale mongole. Bien préparé pour les latitudes plus fraîches du Nord (cf. nos énormes bagages pleines de vêtements chauds en prévision de nos destinations), nous mettons quelques couches d’habits en plus, fin prêts pour une première ballade de découverte de la ville.

...et nos premières gers/yourtes ! 🙂 / ...und spähen dabei die ersten Gers aus der Ferne

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Der erste Eindruck beim Verlassen des Zugs in Ulan Bator ist ein ziemlicher Temperaturwechsel von schwülen 35°C in Beijing zu kühlen und windigen 8°C in der mongolischen Hauptstadt. Dafür sind wir gewappnet und nach ein paar zusätzlichen Kleiderschichten kann uns auch die (plötzliche) Kälte und der Wind nicht mehr viel anhaben und wir machen uns auf zu einer ersten Erkundungstour.

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Ulan Bator, unique « grande ville » de Mongolie, regroupe d’ailleurs près de 45% de la population. Intéressant à différents niveaux, ce centre urbain n’en possède pas moins un caractère assez chaotique du fait de son développement plutôt sauvage de ces dernières années, associé à un urbanisme quasi-inexistant.

Anciens temples et nouveaux buildings se côtoient allêgrement... / Historische Tempels und moderne Wolkenkratzer, "Tür an Tür"...

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Si d’un côté le développement économique engendre dans le centre-ville l’essor des nombreux gratte-ciels et autres 4×4, la population est, d’un autre côté, confrontée à des régulières coupures d’électricité et une partie des habitants s’entasse dans des gers traditionnelles, encadrées de barrières (un comble pour un peuple « libre comme le vent ») en banlieue de la ville, ayant à chercher l’eau potable aux robinets communaux. Il est également monnaie courante d’apercevoir des buildings aux façades de verre côtoyer des bâtiments traditionnels tels que temples et monastères. Enfin, les multiples étrangers (Backpackers, diplomates, expatriés travaillant dans les nombreuses OGN ….ou les compagnies minières du pays) et les jeunes de la capitale, aussi trendy qu’ailleurs ( dernier I-phone technologiques, vêtements de marque dernier cri), croisent régulièrement les personnes plus âgées, souvent encore habillées d’un dell traditionnel (i.e. manteau allant jusqu’au genou, cf. ce qu’Alexis porte dans le dernier post sur la Mongolie), naviguant clairement moins sur cette vague de globalisation.

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Vieille dame en habit traditionnel ("dell") à la sortie d'un temple / ältere Frau, im Dell, beim Verlassen eines Tempels

Ulan Bator, die einzig wirklich grosse Stadt der Mongolei, in der mehr als 45% der gesamten Bevölkerung wohnt, ist eine interessante, wenn auch durch das schnelle, ziemlich planlose Wachstum in den letzten Jahren etwas chaotische Stadt. Der Wirtschaftsboom hat im Stadtzentrum zu einem Spriessen zahlreicher Wolkenkratzer und Auftauchen vieler neuen 4×4 geführt, trotzdem ist die Bevölkerung mit regelmässigen Stromausfällen konfrontiert, lebt zum einen Teil in von hohen Holzzäunen umrundeten traditionellen Gers und holt das Trinkwasser mit dem Karren bei der kommunalen Wasserstelle. In Down Town UB findet man denn auch riesige Hochhäuser mit modernen Glasfassaden neben den ein- und zweistöckigen traditionellen Bauten der Tempel und Klöster. Ausserdem leben hier viele Ausländer (Rucksacktouristen, Diplomaten, Auslandpersonal von NGO… und der Minenindustrie) und die Jungen der Hauptstadt so trendig wie anderswo (mit dem neusten I-Phone, Markenklamotten, etc.), während ältere Menschen oftmals noch den traditionellen Dell, einen mindestens knielangen Mantel tragen (siehe Foto von Alexis im letzten Post zu der Mongolei) und einiges weniger auf der Welle der Globalisierung zu reiten scheinen.

Bavardage au pied de Sukhbaatar, héros de la révolution / Kleiner Schwatz zu Füssen Sukhbaatars

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A ce tableau pour le moins éclectique, l’on peut ajouter les incessants embouteillages des rues principales de la capitale…et enfin les statues en tout genre des héros de la nation, en particulier, bien sûr, de Gengis Khaan, qui parsèment la ville  Bref, c’est un joyeux mélange pas forcément harmonieux, et peu représentatif du reste du pays, mais qui remplit bien son rôle de « base arrière » pour les nombreux  voyageurs et qui, finalement, vaut le coup d’y passer quelques jours !

Zu diesem sehr farbenfrohen Bild der mongolischen Hauptstadt gehören auch noch die permanenten Verkehrsstaus, sowie die unzähligen Statuen, welche die Helden der Nation, allen voran natürlich Ghengis Khan, zeigen. Kurz, es handelt sich bei Ulan Bator um einen freudigen Mix, nicht wirklich harmonisch und vor allem überhaupt nicht repräsentativ für den Rest des Landes, und ist trotzdem eine angenehme Basis für viele Reisende, wo es sich gut einige Tage verweilen lässt.

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Un des deux gardes de la statue de Gengis Khaan / Ein Garde vor Ghengis Khans Statue

Nous commençons nos pérégrinations par la fameuse rue de la paix (i.e. aucun rapport avec celle de Paris, ici, que des magasins d souvenirs, resto et quelques ambassades) pour nous rendre à la non moins fameuse place Sukhbaatar (du nom du héros de l’indépendance mongole). Cette place, véritable épicentre de la ville, est assez jolie et agréable pour se balader et chiller …outre une statue de Sukhbaatar sur son cheval, elle possède l’imposant Parlement devant lequel trône une toute aussi imposante statue du Khaan.

Unsere Erkundungstour beginnt in der Peace Avenue- bekannt unter Touris für die vielen Souvenirshops, chiquen Restaurants, Botschaften und Taschendiebe- und führt von da zum Sukhbaatar-Platz, der nach einem Helden der mongolischen Unabhängigkeit benannt ist. Dieser Platz ist das eigentliche Zentrum der Stadt, noch ganz schön und gemütlich zum Flanieren… neben der Statue vom Sukhbaatar und seinem Pferd, befindet sich auch noch das imposante Parlamentsgebäude, vor welchem eine ebenfalls eindrückliche Statue von Ghengis Khan steht… soviel zur „Statuenreichtum“ in der Mongolei;-).

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Le fameux Migjid Janraisig (gauche) / Das Migjid Janraisig (links)

Le lendemain matin, nous nous rendons au Gandan Khiid, un des 3 plus grands monastères bouddhistes du pays qui, construit en 1838 et épargné lors des « purges religieuses » communistes des années 30 (plus de la moitié des édifices bouddhistes détruit à travers la Mongolie), et abrite env. 600 moines aujourd’hui.

Ce site, sorte de havre de sérénité dans la capitale, comporte plusieurs bâtiments emblématiques, dont le temple Migjid Janraisig, ainsi que divers autres petits temples et édifices liés à (l’ apprentissage notamment de) la religion bouddhiste.

Blanc et jaunes, couleurs dominantes de cet endroit, se marient bien avec le bleu du ciel et l’on y croise des pèlerins s’y recueillant ainsi que de nombreux moines, et « moinillons », vaquant à leurs occupations vêtus de leurs jolis habits mauves et oranges.

Temple Vajradhara
Pas facile d'allumer les batons d'encens lorsqu'on est moinillon ! / Es ist nicht ganz einfach die Räucherstäbchen anzuzünden, wenn man noch ein kleiner Mönch ist...

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Prière d'un pélerin, à coté d'un stupa (droite) / Pilgergebet neben Stupa (rechts)

Den nächsten Tag beginnen wir mit einem Besuch im Gandan Khiid, einem der drei grössten, buddhistischen Klöster des Landes, welches 1838 erbaut wurde und glücklicherweise von den religiösen Verwüstungsgelüsten der Kommunisten in den 30er Jahren verschont blieb (im Gegensatz zu mehr als der Hälfte aller buddhistischen Bauten in der ganzen Mongolei).

Im Kloster, welches ein richtiger Ruhepol in der sonst eher lärmigen Hauptstadt ist, leben heute noch etwa 600 Mönche und hauchen den emblematischen Bauten Leben und (mit ihren gelb- und orangefarbenen Gewändern) auch zusätzliche Farbe ein.

En plein exercice...de mécanique ! 😉 / Auch die Autos von buddhistischen Mönchen haben zwischendurch mal eine Panne
Orange sur jaune...sur gris ! / Orange vor gelbem Hintergrund, vor grauem Hintergrund


La porte d'entrée du palais / Das Eingangsportal zu den Palästen des Bogd Khan

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S’en suit une visite au palais d’hiver du Bogd Khan, du nom du 8ème bouddha vivant, chef de la religion et dernier roi de Mongolie, qui vécut dans ce palace jusqu’à sa mort en 1924 (réel début de la Mongolie « communiste » qui durera jusqu’en 1990). Une porte monumentale marque l’entrée de cet ensemble de petits temples/palais « d’été » encadrant 3 cours en enfilade et du fameux palais d’hiver, qui est en fait une sorte de grosse maison à un étage, à savoir le premier bâtiment d’architecture occidentale de la capitale.

Le palais comporte un assortiment d’objets appartenant au Bogd Khan, depuis les trônes, vêtements officiels du couple royal, jusqu’aux différents cadeaux offerts par les ambassadeurs et autres diplomates en visite, dont notamment une étonnante collection d’animaux empaillés !

Un des palais "d'été" du Bogd Khan / Einer der Sommerpaläste des Bogd Khan

Ein Abstecher zum Winterpalast des Bogd Khan, dem achten lebenden Buddha, Religionsführer und letztem König der Mongolei, welcher bis zu seinem Tod 1924 (=Beginn der kommunistischen Mongolei, die bis 1990 anhält) in diesem Palast gewohnt hat, darf natürlich nicht fehlen. Durch ein riesiges Portal gelangt man in die Anlage, wo eine ganze Serie von „Sommer“-Tempeln aneinander gereiht stehen, sowie der Winterpalast, der allem in allem ein grosses Haus nach westlicher Architektur ist. Dieses beherbergt eine Ausstellung von Gegenständen, welche dem Bogd Khan gehört haben, darunter mehrere Thröne, offizielle Gewänder des königlichen Paars und Geschenke von ausländischen Besuchern, u.a. viele ausgestopfte Tiere!

Démonstration de "throat singing" / Obertongesangsdemonstration, was für ein Wort...;-)

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Durant notre séjour, nous assistons également à un spectacle de la culture mongole à base de  musiques et chants traditionnels, notamment l’impressionnant et agréable à entendre chant diphonique (ou “throat singing”), mais aussi danses, avec en prime un numéro de contorsionniste, le tout dans un décor très typique.

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Si l’ambiance fait un peu « folklore pour touriste », nous ne regrettons pas d’assister à ces performances qui d’une part sont de très bonne qualité, et d’autre part témoignent de l’attachement et de la fierté des mongols à leur culture traditionnelle.

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Danse finale, avec masques de divinités bouddhistes / Die Masken der buddhistischen Gottheiten

Während den paar Tagen in UB besuchen wir eine Vorstellung von traditionell mongolischem Tanz, Musik und Gesang, wobei vor allem der etwas spezielle „Rachengesang“ (auch Obertongesang genannt) unsere Aufmerksamkeit anzieht. Wir sind uns bewusst, dass das ganze Spektakel mehr oder weniger für Touristen inszeniert ist, der Besuch hat sich aber trotzdem gelohnt, denn die Darbietungen sind von guter Qualität und weisen gleichzeitig auf die grösstenteils noch starke Verbundenheit der Mongolen mit ihrer traditionellen Kultur hin.

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Une ger, un crane, un (petit) chien, le décor est planté ! / Unser Wegbegleiter für ein paar Stunden

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Le dernier jour de notre passage dans Ulan-Bator, nous décidons de nous faire les jambes en allant faire une randonnée assez réputée, qui commence à environ 20 km de la capitale, dans le magnifique site du Mandschir Khiid pour rejoindre la ville via l’ascension d’une colline (le Ikh Tenger ).

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Des "étoiles des neiges" à profusion ! / Edelweiss, so weit das Auge reicht!

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Partis tôt dans la matinée pour le village de Zuunmod, nous marchons vers le monastère du Mandschir Khiid, savourant, au passage, nos premiers « vrais » paysages mongols : vastes étendues de steppes, surmontées d’un bleu éclatant dans le ciel (le surnom de la Mongolie est le pays du ciel bleu, on comprend aisément pourquoi sur place), de montagnes aux couleurs changeantes et parsemés de Ger (ou yourtes, l’habitat traditionnel bien connu des mongols),…et d’une quantité incroyables de chevaux et bétail en tout genre, paissant tranquillement en semi-liberté…

Chemin faisant, nous avons également la chance, de traverser un grand champ d’Edelweiss ! Petra est aux anges 😉

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Début des steppes... / Am Steppenrand...

Für den vorerst letzten Tag in UB entscheiden wir uns für eine Wanderung vom Kloster Mandschir-Khiid, welches in einem anderen Tal etwas südlich der Hauptstadt liegt, zurück in die Stadt.

Frühmorgens geht es mit dem Bus los nach Zuumod, von wo wir zum Kloster „aufsteigen“ und dabei die ersten wahren mongolischen Landschaften geniessen: Weite Steppen, blauer Himmel (übrigens wir die Mongolei auch Land des blauen Himmels genannt, was ziemlich nahe liegt und wir nach knapp fünf Wochen und nur einigen wenigen Schlechtwettertagen bestätigen können), vereinzelte Gers, d.h. die traditionellen „Hauszelte“ der Mongolen, und zahlreiche Kühe, Pferde, Schafe und Ziegen, die in Halbfreiheit gemütlich am Grasen sind.


Concours de beauté (Alexis a déjà choisi sa gagnante)
Concours de beauté (Alexis a déjà choisi sa gagnante) / Das Edelweiss weckt bei Petra patriotische Gefühle 😉

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Ebenfalls auf dem Weg zum Kloster stolpern wir über ein ganzes Feld von Edelweissen… ach wie schön;-).

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Vue sur la vallée, depuis le Mandschir Khiid / Sicht aufs Tal vom Kloster Mandschir Khiid aus

Après une rapide visite du monastère, qui a été lui en grande partie détruit, nous attaquons la randonnée, qui s’avèrera assez « free style », dans la mesure où nous ne possédons que très peu d’informations, et que nous passons notre temps à essayer de suivre des pistes, qui s’arrêtent, s’entrecoupent, se divisent,

Magnifiques couleurs aux abords du "sommet" / Schöne Herbstfarben in der Nähe des "Gipfels"

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…bref, nous arrivons quand même au sommet de la montagne/colline où trône un superbe Ovoo*, non sans avoir parcouru de magnifiques paysages de forêts, praires colorées. La suite de la randonnée sera un peu plus laborieux car après avoir suivi une crête, nous redescendons gentiment sur la ville, …et tombons en plein sur les barbelés marquant les contours des « jardins » du palais présidentiel. La description de la randonnée faisait effectivement part de cette éventualité, en invitant les marcheurs à contourner l’immense palais, sous peine de se retrouver nez à nez avec des militaires armés et peu avenants….du coup, avec déjà près de 7h de randonnée dans les jambes, nous nous retrouvons à devoir longer ces interminables filés de fer pendant plus de 2h avant d’apercevoir (après être passé dans une vallée voisine), au loin, les constructions de la ville…il est 19h et nous sommes alors bien contents de rentrer nous reposer à l’hôtel !

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*Les Ovoos sont des assemblages de pierre, souvent en forme de pyramide, dédiés à des divinités issues de la culture chamanique qui imprègne toujours une grande partie de la population mongole (à divers degrés). Ces monuments sont souvent situés au sommet de montagne ou aux passages de cols. A noter que dans les régions possédant des forêts, les ovoos sont aussi souvent réalisés à base de bois).

Nach einem kurzen Rundgang durchs Kloster, welches in den 30er Jahren grösstenteils zerstört wurde, laufen wir los und merken ziemlich schnell, dass die Wanderung sehr « free style » ausfallen wird, denn die vorhandenen Informationen und Wegbeschreibungen sind sehr ungenau und ein Weg existiert gar nicht wirklich.

Au pied l'Ovoo du sommet / Vor dem Gipfel-Ovoo

Dies bedeutet, dass wir anfangs noch versuchen den verschiedenen (Tier-?) Spuren zu folgen, rasch aber aufgeben und dann einfach querfeldein, durch Gebüsch und über Geröll, und der Kompassnadel folgend Richtung „Gipfel“ wandern, wo wir auf ein grandioses Ovoo* stossen. Die Fortsetzung der Wanderung fällt schliesslich etwas „arbeitsreicher“ aus, denn nachdem wir eine Zeitlang der Bergkante gefolgt sind, beigen wir, wie beschrieben, Richtung Tal ab… und stossen auf die Verbotstafeln und den riesigen Stacheldrahtzaun, welcher den Garten des Präsidentenpalasts einzäunt. Unsere lückenhafte Beschreibung warnt effektiv, aber halt zu wenig genau, vor dieser „Möglichkeit“ und lädt ein, das „Tal des Präsidenten“ (Ikh Tenger) weiträumig zu umlaufen, um sich nicht plötzlich gegenüber von schwer bewaffneten Bodyguards wiederzufinden. Dies bedeutet, dass wir nach sieben Stunden weglos über Stock und Stein weitere zwei Stunden in ziemlichen Dickicht dem endlos scheinendem Stacheldraht folgen, dabei auch noch von herum streunenden Hunden angeknurrt werden, bevor wir schliesslich gegen 19Uhr und nach der Durchquerung eines weiteren Tals, kurz bevor die Sonne untergeht, ziemlich erleichtert in der Ferne die Stadt entdecken.

*Ein Ovoo ist eine Art “Steinhaufen”, pyramidenförmig angehäuft und den Gottheiten des Schamanismus gewidmet, welchem immer noch ein Grossteil der Bevölkerung- unterschiedlich stark- folgen. Diese Monumente sind oftmals auf Bergspitzen oder Pässen zu finden, und bestehen in Regionen in welchen Bäume bzw. Wälder existieren manchmal auch aus Holz.

Quelques images additionnelles de notre passage dans la capitale / Weitere Impressionen aus der mongolischen Hauptstadt:

Billard open-air, tranquille dans les rues de la capitale / Openair-Billard in einer Nebenstrasse der Haupstadt

Building, "voile de bateau", emblématique d'Ulan-Bator / Modernstes 'Monument' in UB

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Contorsionniste en plein boulot / Schlangenfrau in Aktion

Un grand ovoo en pierre trône à proximité du Gandan Khiid / Stein-Ovoo in der Nähe des Klosters Gandan Khiid

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...Où les fresques soviétiques cotoient les statues coca-coliques ! / Wenn sowjetische Fresken auf kapitalistische "Werbeflaschen" treffen...
Le "xylophone" mongol, sincèrement un must ! / Mongolisches Instrument, unserem Hackbrett ähnlich

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Vue d'une partie du centre, depuis l'Ovoo / Sicht auf Ulan Bator vom grossen Stein-Ovoo


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